«J’ai viole. Vous violez.
Nous violons» reste le titre. Des les premieres lignes, le auteur, dont nous ne donnerons ici que le prenom, Samuel, un etudiant de 20 annees, reconnait avoir viole le ex-copine, elle-meme a l’origine d’une vague de liberation d’la parole a Sciences-Po Bordeaux. L’auteur decrit avec exactitude nos determinants personnels, culturels et sociaux qui ont participe a la commission de le acte. Cela ne se justifie pas, ne s’autoflagelle pas, ne se defausse gui?re, il explique. Et expliquer n’est gui?re excuser.